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La galerie annie gabrielli accueille les créations d’Elia Pagliarino regroupées sous le titre de Contes sauvages. L’artiste nous fait voyager à travers le temps, dans un imaginaire sensible et poétique aussi bien qu’étrange et singulier.
Depuis trois ans, Elia Pagliarino a entrepris le recensement d’histoires individuelles et collectives issues de tous les continents.
L’exposition présente quatre temps forts :
- Celui du passé avec des céramiques, les Balises.
Elles recensent autant d’histoires individuelles que collectives inscrites dans le passé, témoignent de la grande Histoire et tendent un fil invisible entre les pays et les civilisations. De l’Inde au Pakistan, de La Havane à Yacouba, de la Sicile au Maroc… Elia Pagliarino entreprend là un long chemin sous la forme d’un engagement humaniste.
- Celui du présent avec de grands dessins, les Contes sauvages (titre de l’exposition).
Ils sont réalisés à la manière des gravures des bestiaires humains du XIXe siècle, à la manière des contes populaires qui ressuscitent en nous notre âme d’enfant.
- Celui du futur avec les Espèces en cours d’apparition.
Elles constituent une collection anthropologique utopique de nouveaux spécimens dans l’esprit des planches naturalistes du XIXe et début XXe siècle. Ces spécimens hybrides, issus de croisements humains, animaliers, végétaux, minéraux et technologiques, sont adaptés à leur environnement, comme une revanche sur l’extinction de nombreuses espèces.
- Celui d’un futur amorcé avec des sculptures, Les Subams.
S.U.B.A.M : Sujet Utopiste Breveté Absolument Moderne. Ils sont à mi-chemin entre l’humain par leurs expressions et l’humanoïde par leurs formes.
Depuis trois ans, Elia Pagliarino a entrepris le recensement d’histoires individuelles et collectives issues de tous les continents.
L’exposition présente quatre temps forts :
- Celui du passé avec des céramiques, les Balises.
Elles recensent autant d’histoires individuelles que collectives inscrites dans le passé, témoignent de la grande Histoire et tendent un fil invisible entre les pays et les civilisations. De l’Inde au Pakistan, de La Havane à Yacouba, de la Sicile au Maroc… Elia Pagliarino entreprend là un long chemin sous la forme d’un engagement humaniste.
- Celui du présent avec de grands dessins, les Contes sauvages (titre de l’exposition).
Ils sont réalisés à la manière des gravures des bestiaires humains du XIXe siècle, à la manière des contes populaires qui ressuscitent en nous notre âme d’enfant.
- Celui du futur avec les Espèces en cours d’apparition.
Elles constituent une collection anthropologique utopique de nouveaux spécimens dans l’esprit des planches naturalistes du XIXe et début XXe siècle. Ces spécimens hybrides, issus de croisements humains, animaliers, végétaux, minéraux et technologiques, sont adaptés à leur environnement, comme une revanche sur l’extinction de nombreuses espèces.
- Celui d’un futur amorcé avec des sculptures, Les Subams.
S.U.B.A.M : Sujet Utopiste Breveté Absolument Moderne. Ils sont à mi-chemin entre l’humain par leurs expressions et l’humanoïde par leurs formes.
